J’ai re-découvert le plaisir de découper grâce à Prévert. Il s’y adonnait pour réaliser ses merveilleux collages poético-surréalistes. En les regardant mes doigts ont alors eu la « démangeaison » !
Hop,j’ai chopé un bouquin d’art d’occas’, trouvé dans un vide grenier et payé un euro, et j’ai tailladé dedans.
C’est ainsi que je me suis rapprochée au plus près de ce plaisir de découper qu’ont les petiots dès 3 ans.
En effet quand, petit, on ne sait pas encore trop bien dessiner, c’est top jubilant de créer de belles images avec des ciseaux.
Chez le Si Tu Veux, je les chouchoute ces minus-découpistes venus s’équiper de bons ciseaux.
Désormais chacun repart aussi avec quelques pages déchirées dans l’un ou l’autre de mes catalogues professionnels périmés. Les voilà donc tout bien prêts à faire de belles choses !