C’est un jeune gus de 8 ans, un peu gronchon, déjà épuisé par sa rentrée, qui m’a conforté dans l’idée d’avoir à nouveau chez le Si Tu Veux, le génial crayon farceur. Dès qu’il l’a vu, il s’est déridé. Puis il a sorti de son porte-monnaie toutes ses économies pour s’offrir ce crayon infernal à la mine molle.

Il avait désormais sa parfaite panoplie d’écolier farceur. Du genre le copain toujours serviable qui prête son crayon à qui a oublié le sien, ou (soyons fous) qui lors d’un premier contrôle, remet une feuille blanche à son prof’ d’école après avoir écrit avec son crayon « farçant » !