Un jour j’ai clavioté « dessin monolinéaire » sur le Google. Pour faire simple il s’agit d’un dessin traçable par une seule ligne. Mal m’en a pris ! Voilà que je découvre les dessins sur sable de Vanuatu. Puis ces derniers m’entraînent sur les terres africaines où, avec de simples traces, les gens de là-bas racontent leur vie, accompagnent une histoire, passent un message… Des dessins sans fin qui donnent envie de tout laisser en plan – ce que, bien sûr, je fais dans la minute.
Exercice de logique, jeu de concentration, et oui, pendant qu’on passe le doigt sur ces folles lignes les neurones s’agitent. Faut bien sûr respecter la consigne unique, celle des vieux sages du pays des baobabs où il est dit : Si tu passes deux fois sur une même ligne, on te mange le doigt !!!!! Mon but étant de garder mes dix doigts, je commence par suivre le tracé sur mon modèle.
Et puis je me lance. Sur mon plateau, je verse du sel fin pour remplacer le sable du désert et je fais mon premier entrelacs africain.
Point de doigt mangé à la fin du tracé, et l’impression d’avoir vécu un micro moment d’intense sérénité que je vous incite, vous et vos titis, à tester bien vite.
merci et vive la vidéo qui permet de montrer comme l’activité de dessin au sel est facile à faire
excellente idée, grand poste.